Ô soleil, mon soleil, mon capitaine.
Je suis un récepteur.
Je suis une plante, une mauvaise herbe.
Je suis une particule insignifiante.
Je suis le néant.
Je suis le vent,
et l'air ambiant.
Comme toute chose,
J'ai besoin de toi !
Comme pour bien des gens,
mon bonheur est tributaire de toi !
Tu réchauffes là où le froid est glacial.
Tu éclaires là où l'obscurité est totale.
Tu sculptes l'imperfection pour la rendre désirable.
Tu mets dans nos cœurs un feu qu'on voudrait éternel.
Tes reflets sont tels des diamants.
Alors brille, brille de ta lumière étincelante.
Brille de mille feux et apporte ta chaleur si réconfortante.
Je serais là pour te saluer
et profiter de tes cadeaux autant que cela ce peut.
Je suis un récepteur.
Je suis une plante, une mauvaise herbe.
Je suis une particule insignifiante.
Je suis le néant.
Je suis le vent,
et l'air ambiant.
Comme toute chose,
J'ai besoin de toi !
Comme pour bien des gens,
mon bonheur est tributaire de toi !
Tu réchauffes là où le froid est glacial.
Tu éclaires là où l'obscurité est totale.
Tu sculptes l'imperfection pour la rendre désirable.
Tu mets dans nos cœurs un feu qu'on voudrait éternel.
Tes reflets sont tels des diamants.
Visibles sur les flocons de neige,
ou bien sur les vagues de l'océan.
Ô soleil, astre permis les astres.
Comme notre temps nous est compté,
Ô soleil, astre permis les astres.
Comme notre temps nous est compté,
et qu'il semblerait que le tien le soit aussi.
Alors brille, brille de ta lumière étincelante.
Brille de mille feux et apporte ta chaleur si réconfortante.
Je serais là pour te saluer
et profiter de tes cadeaux autant que cela ce peut.
Ricardo Da Fonseca
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